Notre collègue de l'Adac, Philippe Jouve, vient de publier un ouvrage retraçant son parcours professionnel : « Itinéraire d'un agronome - De la parcelle à la région, de l'Ardèche aux tropiques »
Notre collègue de l'Adac, Philippe Jouve, vient de publier un ouvrage retraçant son parcours professionnel : « Itinéraire d'un agronome - De la parcelle à la région, de l'Ardèche aux tropiques »
Nous vous informons que le Cirad a créé un réseau d’Alumni* pour rassembler tous les scientifiques (ingénieurs, techniciens, chercheurs, …) qui ont eu une expérience au Cirad.
Le terme d’alumni reste parfois obscur à certains. On l’utilise pour désigner les anciens d’une structure. Dans le cas d’une école, c’est tout simplement les anciens diplômés. Alumni permet de garder les contacts. C'est important pour l’école mais aussi pour faire profiter de leur expérience les nouveaux étudiants.
A travers ce réseau, au Cirad, il s’agit :
- d’avoir à un annuaire ouvert et accessible aux utilisateurs (tout en contrôlant vos données personnelles et votre profil)
- de créer ou participer à des groupes thématiques
- d'accéder à des offres d’emplois ou de stages ciblées en fonction de vos diplômes et de vos aspirations en France et à l’étranger.
Si vous souhaitez prendre part à ce réseau, consultez le site Web de France Alumni et enregistrez-vous en cliquant sur le lien https://www.francealumni.fr/fr/groupes-thematiques, en indiquant « Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) » comme entreprise d’accueil lors de votre séjour ou séjour scientifiques. Télécharger aussi votre CV dont le contenu n’est pas contraint.
Le Cirad a créé le groupe « Alumni du Cirad » dans la thématique « Recherche et chercheurs » pour pouvoir se retrouver spécifiquement.
En complément du groupe Alumni du Cirad vous pouvez participer à d’autres groupes de votre choix. Le plateforme France Alumni se décline en plus de 130 sites internet internationaux… Vous pouvez ainsi entrer en contact avec des Alumni d’autres établissements français dans votre pays.
*ALUMNI signifie « élèves » en latin : c’est le pluriel d’alumnus.
Etienne Landais*, ancien collègue de l'IEMVT, ancien directeur général de Montpellier SupAgro, nous fait le plaisir de nous informer de ses oeuvres (ouvrages et écrits extra scientifiques, dessins et peintures), toutes superbement rassemblées dans un blog dont voici le lien d'accès :
Ce blog a une indéniable valeur patrimoniale et humaine en faisant valoir des témoignages et des hommages concernant de nombreux collègues ayant œuvré au Sud. En cela, il est en phase avec une des missions de l'Adac : celle, mémorielle et historique, que nous poursuivons avec notre site par le recueil de biographies, textes, photos, films, mais aussi de productions artistiques (comme les dessins et tableaux). On y voit aussi tout l'intérêt qu'il porte aux arts premiers.
*Etienne Landais est né en 1949. Docteur vétérinaire, docteur ès Sciences, il commence sa carrière en qualité de chercheur sur les systèmes d'élevage en Afrique de l'Ouest (Tchad, Côte d'Ivoire, Sénégal) pour le compte de l'Institut d'élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux (IEMVT-Cirad, 1975-1986). Il est ensuite recruté par l'Institut national de la recherche agronomique (Inra, France) où il continue à travailler sur les systèmes d'élevage en tant que chargé de recherche, puis directeur de recherche jusqu'en 1996. De 1997 à 2000, il est chargé de mission auprès du président et du directeur général de l'Inra. En 2001, il est nommé directeur de l'Ecole nationale supérieure agronomique de Montpellier qui devient, en 2006, Montpellier SupAgro, Centre international d'études supérieures en sciences agronomiques, dont il sera le directeur général jusqu'à son départ en retraite, en 2013.
Un récit de Jacques Chantereau
Le 15 octobre 1987, Le président Thomas Sankara, dirigeant révolutionnaire du Burkina Faso, était abattu dans le périmètre du Conseil de l’Entente. Nous étions aux premières loges car notre maison se situait à environ 200 m du lieu de l’attentat. A proximité, se trouvait également la maison de Robert Nicou, le directeur de l’agence régionale du Cirad où je travaillais. Tous deux, nous habitions dans la zone de sécurité de la présidence car Thomas Sankara s’était établi dans notre voisinage, au Conseil de l’Entente. La radio-télévision nationale nous avoisinait. Cela présentait des inconvénients. Pour rentrer chez nous, nous devions nous présenter à des postes de garde. En revanche, les pannes d’électricité étaient rares et rapidement résolues. De plus, nous n’avions pas à craindre les voleurs. Les bureaux du Cirad était, eux, situés à environ 2 km de nos habitations.
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